Avec ou sans
la petite culotte est lobjet de tous les fantasmes ! Non, non, non
les hommes ne sen battent pas les dentelles et le plus sûr moyen de leur plaire est sans conteste dêtre toujours prête à relever des défis improbables!
Les plus coquines ne sont pas toujours celles que lon croit. La très féminine revue ELLE publie lexpérience dune journaliste Alix sortie sans culotte. Rien de bien extraordinaire, me direz-vous
si ce nest que la demoiselle, (jadore ses articles!) se pâme daise tant lair la comble de ses bienfaits.
En discutant avec les hommes on saperçoit aussi très vite quils sont particulièrement émoussés à lidée que leur petite amie sorte sans petite culotte
qui plus est, Les balades sans culotte semblent prendre de plus en plus dampleur. Cette manière daborder la sexualité na rien de nouveau, mais la généralisation de cette façon dagir et dêtre, à la suite des vedettes dHollywood, dessine cette nouvelle tendance. Plusieurs qualifient ces mordues libérées de "freebuffers". Mais est-ce vraiment le cas ?
Pour la petite histoire
les culottes au début du siècle dernier se portaient à "hauteur du genoux", elles étaient larges, froncées à la taille et fermées par une ceinture boutonnée. Lorsque lon évoque la fameuse petite culotte blanche en coton, la marque "Petit bateau"nous vient immédiatement à l'esprit. C'est Etienne Valton qui en a eu lidée en 1918. Il paraîtrait (cela reste à confirmer) que la marque lui serait venue suite à la fameuse chanson « Maman, les p'tits bateaux... ». Quoi qu'il en soit, elle fait encore à lheure actuelle fantasmer de nombreux messieurs
Qui sont ces sans-culottes intrépides?
Les femmes qui sortent sans-culottes (1 sur 4 le fait quotidiennement) ne sont pas uniquement à la recherche de sensations beaucoup souhaitent saffranchir... mais l'on peut tout à fait devenir une sans-culotte pour le fun ou pour faire tout simplement plaisir à son chéri!
Alors, le plaisir de marcher cul nu existe t-il?
Oui, oui, oui (trois fois oui !) et pas seulement pour se sentir libérée
Ne freinez pas vos élans, comme le dit si bien Alix: « chaud » must go on!